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Tout me parait irréel. La neige est tombée comme si les cieux n'y croyaient pas. Ces choses qui n'arrivent qu'aux autres font donc si mal. Pourtant, nous avions les clés du paradis. Mais on a choisi de s'imposer ce vide. Si on ne s'aime plus, pourquoi pleure-t-on autant? J'ai été si aveuglé. Par ce confort, ces acquis. Jusqu'au moment où on a prononcé ces mots signant la fin. Tout m'a été révélé, l'épiphanie de la tristesse cachée derrière la promesse de ces libertés dont je me suis désintéressé dès l'instant où je les ai possédées. Les bonheurs passés me rendent si malheureux. Pourquoi me suis-je à ce point éteint depuis que nous avions atteint notre rêve commun? Pourquoi notre toit, dont nous révions dès le premier jour, n'a fait qu'étouffer la flamme? Mes plaisirs me dégoûtent. Pourquoi ceux-ci m'ont choisi et les autres m'ont lachés? Nos âmes paraissaient n'être qu'une et nous voilà séparés par une force invisible. Nous avons été menottés à des roues distinctes par le simple fait de la fortune. J'aimerais tant pouvoir choisir d'aimer. Malgré tout, ce choix paraît être le seul qui nous fera avancer. Mais le chemin, caché derrière l'horizon, ne semble mener à rien, alors que ce qui est derrière moi est si beau. L'adaptation hédonique me condamne à l'insatisfaction. J'espère au moins qu'elle me sauvera de la tristesse. Ces choses qui m'avaient lassées me manquent déjà tellement. 💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙 Il se passe des trucs intenses là dedans. Je pensais que le manège s'était calmé. Je sais pas si je réalisais pas, ou si je comprends pourquoi les gens me disent de couper les ponts. Retrouver ta douceur le temps d'un instant me fait réaliser l'amertume de ton absence. Je peine à croire que changer de miroir fera revenir mon reflet. Je suis terrifié à l'idée que l'olympe soit derrière moi. Vision d'horreur de deux corps enlacés dérivant dans le cosmos qui, après s'être assoupi, se sont lachés. Une fois reveillés, ils n'ont plus que pu s'observer s'éloigner lentement dans l'infini. ... C'est la première fois que je pars de ce salon pour aller nulle part. Difficile de conduire derrière un voile de larme. Le chemin sera long en s'arretant à chaque occasion pour écrire mes émotions. Et moi qui pense que fuire dans un autre appartment va tout changer. T'inquiètes pas, j'ai bien mis ma ceinture et je check mes angles morts. Tiraillé entre conduire vers ou loin des souvenirs. ... Je traverse un champ en utilisant la technique que tu m'avais montrée pour savoir si un câble était électrifié sans trop se faire chnailler, en utilisant un brin d'herbe, enfin je crois. L'odeur le l'herbe me rend presque nostalgique tellement je ne sors plus qu'en ville, à la recherche de bruit, de flash, de foule, tout sauf du calme. Que tout ça m'envahisse, remplisse mon corps, prenne de la place. Secouez-moi, compressez-moi. Faites moi rire, pleurer. Faites moi oublier, faites moi profiter, montrez moi comment vivre, accompagnez moi. Tout ça, est-ce vraiment moi ? ... Toujours cette odeur, qui me fait me demander pourquoi je ne t'ai pas emmenée plus souvent faire du camping, pourquoi je n'ai plus été capable de te faire rêver. Depuis tout ce temps persuadé que c'était une bonne décision, j'en viens presque à en douter. Mais non... Comment est-ce possible que parler de nos futures relations me fasse du bien ? Comment est-ce possible de se sentir si proche de cette personne que j'appelle encore une fois sur deux ma copine. J'ai envie de crier notre relation au monde. Regardez ce qu'on a construit. Regardez comme elle est belle. Regardez la vite car elle est déjà partie. J'assiste à ce coucher de soleil en m'imaginant qu'il ne se relève jamais et me dit que ceci rendrait ce bel instant bien triste. ... Ces lumières sur la rive, les mouettes, l'odeur du bord de l'eau. Tout me rapellera nos moments. Ces vacances, ces core memories, ces instants que je ne vivrai plus. Il y a une E dans le ciel... Putin, pourquoi écrire cette ligne me fait autant chialler. J'ai l'air fin à regarder la lune en dessus des dernières lueurs ocres du ciel avec mes lunettes de soleil. Je t'imagine marcher sur le bord des ombres formées par les montagnes sur leur fond bleu nuit. Je revois le post-it que tu m'avais laissé, où tu nous avais dessiné, toi me faisant des signes de fumée du sommet du vanil noir, moi t'attendant plus bas. La fumée formant les mots "I <3 U" ... C'est si simple à comprendre et pourtant si difficile à accepter que tu puisses ne plus m'aimer 💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙

Dans le dernier train, il manque un poids sur mon bras Post soirée avec les copains, de la fête au silence, je me confie au coussin Avec qui parler de ce film qui m'a retourné le cœur ---------------- On s'était dit qu'on s'aimerait pour toujours Et maintenant que c'est fini j'y crois encore plus. ---------------- Emmène moi là où je ne voulait pas aller, tant que c'est avec toi, j'y grimperai Prend moi par la main, peu importe l'allée, Tant qu'elle touche la tienne, tout ira bien ---------------- Quand tu viens prendre tes affaires Je vis ça comme un date Euphorique de te revoir Détruit quand tu repars ----------------

Comment avancer quand tu envahis mes premières et dernières pensées 🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤 J'ai comme été laché dans un monde étrangé. Complètement perdu et seul, plus aucun repère, personne ne parle ma langue, aucun point auquel se raccrocher pour ne pas se laisser emporter par le flot noir. J'essaie d'embrasser ce chaos mais il me parait si hermétique, si artificielle, si déconnecté. Je rêve de mon chez moi, de retrouver mon moi, mais tout ce qui y ressemble n'est plus le même. Tout est à sa place et pourtant ce sentiment de malaise, le bleu n'est plus bleu, le chaud n'est plus chaud, le doux n'est plus doux. Tout est faux, rien n'a de valeur, je n'ose plus toucher ce à quoi je tiens de peur qu'il parte en poussière à travers mes doigts. Le blanc des murs m'est hostile, mes proches semblent porter des costumes, le soleil n'est qu'un spot froid et l'eau est sèche. J'ai peur, je suis submergé par le vide, je te vois partout mais tu es nulle part. Mes premières pensées me clouent au lit et ne me font qu'essayer de me rendormir pour te retrouver. Mes dernières pensées te sont dédiées mais tu parasites celles de mes journées. C'est tellement difficile putin L'impuissance face à la chose qui nous fait vivre. C'est comme si je devais accepter la mort, celle que je n'avais jamais envisagée. Une mort où je reste conscient pour l'éternité et ne peut que regretter et ressasser. 💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙 J'aimerais t'écrire, encore et encore, mais j'ai l'impression que ceci ne ferait que nous séparer davantage. Alors je fait semblant de pouvoir vivre sans toi, d'être heureux et épanoui, et pas une grosse merde sans passion, sans discussion, incapable de se remettre du chagrin le plus commun, incapable de passer à autre chose et de grandir, s'imaginant l'impossible comme s'il était encore adolescent. Et pourtant il y croit ce con, au fond de lui, car c'est impossible, cette situation est impossible, je ne peux pas y croire, pas après tout ça, toutes nos promesses, même si nous n'étions que des enfants. Pas après avoir construit quelque chose d'aussi grand, d'aussi fort. Pas après s'être lié de manière aussi viscérale. comment tout ça pourrait disparaitre du jour au lendemain. Tout ça, ça n'a pas disparu, n'est-ce pas... ? 💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙🩵💙 Putin ça faisait 2 mois que mes yeux étaient secs et aujourd'hui je craque du matin au soir, je brûle de l'intérieur, j'ai failli prendre le gars qui est venu visiter l'appart dans mes bras, j'ai failli chialer au milieu du dance floor devant de la grosse électro, j'avais l'impression de me noyer dans du vide, le son était étouffé et les gens collés à moi étaient si loins. Mes jambent ne me portent plus, j'ai la mémoire de Dori. J'écris des pavés et des pavés que je n'ose pas t'envoyer pour une raison qui est expliquée dans un autre pavé. C'est tellement tellement tellement dur. Tu me manques comme personne ne m'a jamais manqué ---------------- Et j'ai peur de ce cercle vicieux où il faut que j'aille mieux pour avoir la possibilité d'obtenir ce qui me ferait aller mieux. Est-ce que je sais seulement comment aller mieux... ---------------- Et je crois que je suis pas au bout de mes peines car il y a encore des choses que je n'ai pas réussi à intérioriser. Je n'arrive pas à croire, ou à accepter, que tu ne m'aimes plus. Je pensais comprendre les raison qui t'ont poussées à vouloir se séparer, je pensais ressentir les mêmes. Le manque de passion, l'enfermement, la lassitude. Mais pour moi l'amour ne s'est jamais éteint, même s'il était sûrement, par moment, très tamisé. Je sais pas si tu réalises à quel point je me sens proche de toi. À quel point c'est à des années lumières de tout l'amour, de toute l'amitié, de toute la complicité, de tout l'attachement que j'ai pu ressentir envers quiconque. C'est un sentiment dont je ne trouve pas le nom. Et j'ai vraiment l'impression que ce sentiment était réciproque, et donc je n'arrive pas à y croire... Et j'ai l'impression que chaque message que je t'écris nous éloigne un peu plus. Car tu dois sûrement te dire que j'ai besoin de cette éloignement pour aller mieux. Et ça me fait peur peur peur. Des fois je me dis qu'il faut que je fasse semblant. Semblant d'aller mieux, de vivre épanoui sans toi, et que peut-être ça nous rapprochera. Mais j'en suis incapable, donc je t'écris, je t'écris, je t'écris, et parfois je t'envoie ce que je t'écris. Et je te sens t'éloigner davantage à chacune de tes réponses 🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶 Il faudrait passer à autre chose, te laisser derrière moi. Notre livre, refermé, n'est que rangé dans ma bibliothèque d'où j'en sentirai toujours les pages. Je me suis écrit en même temps que lui et je ne pourrait le brûler sans, moi-même, m'immoler. 💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜 Merci de m'avoir appris l'empathie ------------ Je te remercie d'être toujours là ------------ Un quart de vie 💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜💚💜 Quand je dis que quand je suis avec toi, c'est comme si j'étais avec moi même, ça peut paraître bête. L'hypersensible face au cœur de pierre, l'expressive face au muet, l'intense face au flegme. Mais c'est comme si notre cœur était le même, mais que l'enveloppe était différente. Comme si au plus profond de notre être, on était similaire, mais que nos expériences, le hasard, nous a rendu distinct. C'est comme si dans le cas où on vivrait 10'000 ans, à force d'accumuler de la sagesse, de se découvrir, de se connaitre soi-même, on finirait par être les memes. 💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙💜💙 On ne m'a plus jamais demandé "à quoi tu penses ?" Cette question si simple, témoignant du plus profond intérêt envers l'autre. Témoignant de la plus grande complicité. De la plus grande confiance. 🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶🖤🩶

J'ai besoin d'être surstimulé -------- Une larme, Une claque, sur ma joue, Ton mot qui m'achève, Cette ivresse pathétique, Ma poitrine qui cede sous le poids du vide, Ton absence qui m'annihile, Ces souvenirs qui me déchirent de nostalgie Ces montagnes qui me reservent leurs crevasses Un sourire, Une claque dans ta paume Ton mot qui me relève Cette ivresse euphorique Ma poitrine qui s'envole sur la légèreté de vos sourires Ton absence qui me defibrile Ces souvenirs qui me pansent de leur précieux Ces montagnes qui me reservent leurs croix. Une larme, Un sourire, Une claque, sur ma joue ou dans ta paume Ton mot qui m'achève puis me relève Cette ivresse pathétique, cette ivresse euphorique Ton absence qui m'annihile et me defibrile Ces souvenirs qui me déchirent de nostalgie me pansent de leur précieux Ma poitrine qui cede sous le poids du vide et qui s'envole sur la légèreté de vos sourires Ces montagnes m'avaient manquée et j'en chéri autant les crevasses que les croix.

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Je taffe jusqu'au dernières heures, s'il vous plait partez pas Aller dormir à 20h, pour pas passer la soirée seul. Je veux pas me réveiller, je veux rester dans tes bras. --------------- Dormir pour oublier, pour passer le temps, pour rêver --------------- Ma vie s'enfui dans tes cartons Dans le reflet de mon armoire à moitié vide Il me reste plus que ton odeur sur mes vêtements Éteignez moi ce silence Quand je danse, ça brille Quand je rentre, je pleure, je dors, je meurs Quand je danse, je ris, je vous chéris mes amis Et je rentre seul dans le vide en mélancolie Tout se fanne, même sans erreur On se lasse, même du meilleur On se retient, car on a peur Si on s'aime plus, pourquoi on pleure? --------------- Pauvrette, t'es triste? C'est la première fois? Tu dois sûrement penser qu'on va s'occuper de toi Ouais, elle t'a proposé "viens ce soir avec moi" Mais profites-en bien car c'est la dernière fois Mon patron me dit "rentre chez toi" Mais je le maudit ce putin d'endroit Il y a son odeur dans l'air Notre bonheur m'écrase Je peine à effacer le coeur de son contact Je reçois son courrier à mon adresse J'attends ses stories pour nous sentir proche

🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶🩶 À chaque fois que je rencontre une nouvelle personne, tu me manques un peu plus

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Aujourd'hui ça va mieux Beaucoup mieux Je pense même que je suis en train de vivre une des meilleures périodes de ma vie J'ai envie de te raconter toute ma vie, mais peut-être que tu t'en fou. Et je dis toute ma vie mais c'est juste un an en réalité. Je crois que j'ai beaucoup changé. ça a vraiment été un gigantesque déclic cette rupture. Je sais pas trop pourquoi. Les gens disent de moi que je suis sensible aujourd'hui, et je suis à peu près sûr que tu as levé les sourcils en lisant ça haha J'ai réussi à remettre certains tableaux que tu m'avais fait au mur. L'autre jour j'ai relu la lettre que tu avais laissée sur mon bureau. Celle pour me dire que certaines choses n'allaient pas, que mon caractère de cailloux te faisait souffrir. ça m'a provoqué beaucoup d'émotions de la relire. Je pensais m'en souvenir, je pensais l'avoir comprise. Mon dieu, j'ai compris les choses tellement différemment en la relisant aujourd'hui... Comment j'ai pu être si... hermétique. Je m'en veux d'avoir eu certains comportements. Je me rends compte que je t'ai fait vivre des trucs vraiment pas cool ces dernières années, j'étais pas à l'écoute, je minimisais tes sentiments. Je m'en veux, je comprenais pas, j'avais pas la force peut-être, ou bien juste ça me convenait pas. Je m'excuse J'espère avoir grandi. J'ai l'impression d'avoir beaucoup changé. Pour être honnête, j'ai l'impression que tout a changé. Ce que je ressens, mon empathie, ma vision du monde, des autres, de moi même. Mes hobbies, mes passions de cinquantenaire se sont en allée. Mon struggle de pas savoir quoi foutre de ma vie s'en est allé. J'ai toujours pas trouvé la réponse exacte mais la vie au jour le jour me convient. J'ai rencontré des gens, c'est vraiment les meilleur·exs. Iels ont tout changé. C'est Gabi qui me les a présenté·exs pour la plupart. ça fait quasiment pile poil un an que je les ai rencontré·exs. J'ai l'impression qu'on se connait depuis 10 ans. Pas tout le monde, évidemment, mais il y en a 2-3..... des fois je pleure tout seul chez moi tellement je suis content qu'on soit ami. La vie à Lausanne est folle. Je vois quasiment plus mes amis que tu connais. J'aimerais tellement te présenter toutes les nouvelles personnes qui me sont chères. Et j'aimerais tellement qu'elles te connaissent. Je suis sûr que vous vous entendriez grave bien. Je suis hyper fier de mes ami·exs. Je sors tout le temps. Je vis un peu la période que tu as eu avec le Mélo haha, mais c'est dans des endroits bien plus cool que le mélo je trouve hahaha. Je traine avec les queer, les anarchistes, les totos. Trop d'étiquettes haha, c'est juste des gens supers. Je me sens si bien avec elleux. Je me sens à ma place. On danse jusqu'au lever du soleil. J'adore cette euphorie. Après on fait pas que sortir hein. On organise des soirées aussi.... je rigole (même si c'est vrai). Mais on bricole, on chill, on mange des crêpes, des gaufres, du fromage, on va tout le temps au ciné, on va se baigner au lac au milieu de la nuit en pleine semaine, on regarde les étoiles, on se retrouve après le boulot au parc sans aucun but comme so on avait 13 ans. On est dans des collectifs aussi, je passe pas mal de temps à cuisiner pour la collectivité. J'ai l'impression de me jeter des fleurs en disant ça haha, mais c'est une partie importante de ma vie actuellement mine de rien. Et c'est pas vraiment un sacrifice de faire ça, en réalité j'adore ces moments où on se retrouve devant 50 poivrons, 3 patates, 2 kilos d'oignons et 1000 pommes (le tout à moitié moisi) et qu'on se demande comment on va bien pouvoir faire à manger pour 20 personne avec ça. La vie en collectif c'est tellement bien purée, pourquoi j'ai passé toutes ces années à vouloir être tout le temps seul..? Certainement que j'avais pas trouvé les bonnes personnes... et en vrai j'aime bien rentrer à mon appart tout calme après ces moments plein de foule quand même J'explore toujours le poly amour (tu avais déjà levé les sourcils quand je t'avais dit que j'envisageais ça hahaha). J'ai même un copain en ce moment... et j'ai même déjà vécu un autre gros chagrin d'amour :,) (ok, peut-être pas aussi gros). Je me demande où tu en es toi par rapport à tout ça, même si Insta donne quelques indices mais c'est assez discret. Ça me manque d'avoir quelqu'un comme toi. Je pense encore beaucoup à toi. C'est difficile de connecter fort avec quelqu'un à 27 ans... c'est peut-être un signe de maturité ? Difficile de trouver quelqu'un de totalement aligné, avec qui tout coule de source, avec qui on se sent presque instinctivement proche, avec qui tout parait être une évidence. Ça me manque, mais j'ai peur que si je retrouve ça, je m'enferme dedans à nouveau Mes potes veulent pas d'enfants. Je me demande où on sera dans 20 ans. Est-ce qu'on sortira toujours ensemble ? ça ressemble à quoi un groupe de potes quarantenaire qui a pas de gosses ? Ça m'angoisse de vieillir. J'ai enfin trouvé un milieu dans lequel je suis vraiment épanoui et j'ai l'impression d'avoir des années à rattraper J'aimerais tellement te partager tout ça J'espère que toi ça va